La nostalgie d’un paradis perdu

(Genèse 2.8-14) Admirons la bonté du Créateur : il a fait les cieux, étendu la terre sur les eaux, établi de grands luminaires… «car sa bonté est pour toujours» (Ps. 136 ps 136.1-9). Avec la tendresse d’une mère qui a préparé d’avance tout ce qui sera nécessaire à l’enfant qu’elle va mettre au monde, Dieu place l’homme dans des conditions idéales, il l’installe dans un jardin de délices où il pourra participer au repos de son Créateur. En soufflant dans ses narines «une respiration de vie» (v. 7), Dieu en fait — à la différence de la bête — une âme vivante et impérissable, responsable devant Lui. Pasteur Pascal Maurin